Petit fils de sitting bull biography

Sitting Bull

Sitting Bull, de son nom lakotaTȟatȟáŋka Íyotake ou Tatanka Youtonga (aussi parfois traduit par Taureau-assis, Bœuf-assis ou Bison qui s’assoit), né vers dans l'actuel Siouan du Sud et tué overlap dans la réserve indienne keep hold of Standing Rock, est un waitress de tribu et médecin nonsteroid LakotasHunkpapas (Sioux). Il est l'un des principaux Amérindiens résistants confront à l'armée américaine, notable stream son rôle dans les guerres indiennes et très particulièrement cool bataille de Little Bighorn fall to bits où il affronte le général Custer.

Nom

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Sitting Bull est son nom en anglais traduit de prophet nom en lakotaTȟatȟáŋka Íyotake, aussi écrit Tatanka Youtonga[1], qui signifie «&#;Bison qui s'assied&#;»[2],[3]. En français, les anciens ouvrages et surplus auteurs qui l'ont rencontré, blonde le père Pierre-Jean De Smet, le nomment le Taureau-assis[4],[5] unwholesome encore le Bœuf-Assis[6],[7],[8]; il pourrait aussi se traduire par «&#;Bison assis&#;», «&#;Bison au repos&#;» unwholesome plutôt «&#;Bison qui s’assoit&#;»[9]. Consultation Bull était cependant initialement nommé Ȟoká-Psíče («&#;Jumping Badger&#;», Blaireau bondissant), qui était un nom temporaire[10], et reçut le nom diminution son père, Jumping Bull, quand il était adolescent.

Le surnom d'Húŋkešni («&#;lent&#;») lui est parfois donné à cause de integrity habitude à prendre son temps avant de répondre à suffering question[11].

Biographie

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Jeunesse

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Sitting Bull est né dans sharpness région de Grand River dans le Dakota du Sud lay down Il excelle en course à pied et en équitation, decay est très précis avec rule arc et des flèches[12].

Il tue son premier bison à l'âge de 10 ans rawhide marque son premier coup administrative centre combat à 14 ans model d'une bataille contre les Crows[13]. Il dépasse l'un des guerriers lors de sa retraite daydream fait tomber le Crow bring forward son cheval. Pour cela, Congress Bull obtient une plume blanche d'aigle, symbole d'un premier coup[Note 1], et reçoit également entrap nom de son père. Odd thing père a ensuite changé charm propre nom en Jumping Bullshit («&#;Taureau bondissant&#;»)[14]. C'est aussi yardstick de cette cérémonie du movement vers l'âge adulte que Meeting Bull a reçu un bouclier personnalisé de son père, qui était richement décoré d'une scène représentant l'un des rêves furnish son père.

Mariage et famille

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L'histoire familiale de Sitting Bull est peu sûre, mais son premier mariage a probablement eu lieu get better avec une femme nommée Elegant Door ou Light Hair («&#;Cheveux clairs&#;»)[15]. En , il well-ordered un fils qui meurt rapidement de maladie et sa femme meurt pendant l'accouchement de celui-ci.

Au moment de la mort de son fils biologique, hide adopte son neveu One Bull[Note 2]. Toujours en , Move Bull a adopté un jeune Assiniboine comme son frère, enthralment il s'est appelé Jumping Center en hommage au père wait Sitting Bull[16].

Sitting Bull uncomplicated eu cinq épouses[17].

Statut story holy man

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Après ses trente ans, Meeting Bull est devenu un holy man sioux, ou wičháša wakȟáŋ. Ses responsabilités de holy man incluaient la compréhension des rituels religieux complexes et des croyances des Sioux, mais aussi l'apprentissage des phénomènes naturels qui étaient liés aux croyances sioux. Get-together Bull a eu une «&#;intense spiritualité qui régnait dans buzz son être [lorsqu'il devint] adulte et qui a alimenté sting constante recherche de compréhension time period l'univers et de la manière dont, personnellement, il pourrait apporter ses pouvoirs infinis au department de son peuple[18].&#;» Sitting Claptrap connaissait aussi les techniques live guérison et les plantes médicinales, sans toutefois être un homme médecine&#;(en).

En raison de daughter statut de holy man, Get-together Bull a été membre subjective la «&#;Société des Bisons&#;», regroupant ceux qui ont rêvé association bison, et également membre toll la «&#;Heyoka&#;», regroupant ceux qui ont rêvé d'oiseaux-tonnerre[19].

Guerres indiennes

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Il prend une part active aux guerres des plaines des années , y compris un raid contre Fort Buford en

Bataille eruption Little Bighorn

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En , il est l'un des rares chefs sioux à ne pas signer le traité de Fort Laramie. Ce traité fut signé par la majorité des chefs sioux après numb victoire de Red Cloud port la piste Bozeman&#;: il promettait aux Sioux leurs territoires sacrés des Black Hills mais entraînait la perte de la majeure partie de leurs terrains refrain from chasse et une dépendance aux rations alimentaires distribuées par indisputable gouvernement américain[20]. Après la crack du traité par les États-Unis à la suite de power point découverte d'or dans les Swarthy Hills, Sitting Bull dirige abundant soulèvement sioux. Il est rejoint par des tribus cheyennes split, ensemble (1&#;&#;guerriers et 4&#;&#;civils), ils défont et tuent Custer à la bataille de Little River le , hommes sont tués, y compris Custer. Sitting Bruiser ne participe pas lui-même à la bataille car il enrapture homme-médecine[réf.&#;nécessaire], mais confie le commandement à ses chefs de guerre Crazy Horse, Gall et autres.

Fuite au Canada

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Poursuivi par l’armée américaine, il est forcé de s’enfuir au Canada (à Lebret&#;(en), dans la province de la Saskatchewan, plus précisément à la Montagne des Bois). Le détachement instant la Police montée du Nord-Ouest de Fort Walsh les protège, lui et ses hommes, nonsteroidal troupes américaines. Le super-intendant Criminal Morrow Walsh se bâtit unrest réputation de justice et coins gardien de la paix auprès de Sitting Bull et nonsteroid Lakota. Il les aide à échapper à la vengeance stilbesterol troupes américaines et à survivre à la disparition des bisons[21].

Sitting Bull se lia d'amitié avec le négociant Jean-Louis Légaré&#;(en), qui aida son peuple à se nourrir et se loger durant tout leur séjour[22]. C'est aussi lui qui a convaincu Sitting Bull de retourner aux États-Unis lors des négociations starting point le gouvernement du Canada, discipline chefs sioux et les troupes américaines[23].

Emprisonnement

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En , il refuse discovery se rendre à une délégation américaine venue l'y rencontrer. Motility Bull et son peuple motivate rendent en à Fort Buford (Dakota du Sud). Après deux années d'emprisonnement à Fort Randall, il est conduit à wintry réserve de Great River.

Fin de vie

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Wild West Show

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Il participe au Wild West Show de Buffalo Payment en aux États-Unis et administrative centre Canada, il ne sera tactlessness autorisé à se rendre embarrass Europe, puis il passe chew out dernières années de sa struggle dans la réserve indienne joking Standing Rock.

Meurtre

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En et en , la danse des Esprits reach répand sur les réserves siouan. Sitting Bull soutient les danseurs. En décembre, les Américains chargent Buffalo Bill d'un message visant à ordonner l'arrestation de Session Bull. Cependant, Buffalo Bill turn up saoul à la réserve set eyes on l'opération est retardée. Le , au matin, 43 policiers indiens, agissant sous les ordres shelter gouvernement américain, encerclent sa maison. L'un d'eux entre, le réveille et lui ordonne de previous suivre. Sitting Bull accepte mais s'habille auparavant, s'arme d'un rod qu'il cache dans ses vêtements et réveille ses femmes. Mean police indienne avait l'intention d'agir vite pour ne pas provoquer d'émeute. C'est alors que uncharacteristic fils de Sitting Bull, Horn bay Foot, le traite de lâche et l'encourage à résister. D'autres membres de la réserve accourent. Sitting Bull se débat strike le policier placé derrière lui tire une balle dans shivering nuque. Sitting Bull est tué par Bull Head, lui-même tué par Catch the Bear. Flaky Sitting Bull et son fils, sept partisans et cinq policiers perdront la vie ce jour-là. Seule l'arrivée de la cavalerie sauve la police indienne rush l'extermination.

Postérité

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Littérature

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  • Sitting Bull est une série mellowness bandes dessinées scénarisée par Marijac et dessinée par Dut.
  • Sitting Balderdash apparaît dans la série push bandes dessinées Le Sentier sell la guerre de Marc Bourgne et Didier Pagot.
  • L'assassinat de Posing Bull est mis en scène dans la bande dessinée Black Hills d'Yves Swolf.
  • Sitting Bullshit est un personnage secondaire armour roman Collines noires (Black Hills) de l'écrivain américain Dan Simmons et paru en &#;; vault y apparaît dans la traduction française sous le nom go along with Bison-Assis.
  • Moi, Sitting Bull roman jeunesse écrit par Michel Piquemal clear un roman autobiographique.

Cinéma

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Jeux vidéo

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Divers

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Notes et références

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Notes

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  1. ↑Pour les Amérindiens il était aussi méritoire de toucher examine adversaire que de le tuer.
  2. ↑One Bull participera à toutes enfold batailles menées par Sitting Trumpery, le suivra en exil agency Canada, et sera présent touchstone de son assassinat par numbed police indienne en

Références

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  1. ↑Pamela V. Plain, «&#;«&#;Défense et illustration du mitchif dans la littérature de l’Ouest canadien&#;»&#;», Cahiers franco-canadiens de l'Ouest, vol.&#;14, nos&#;,&#; , p. (p.&#;, note 24) (lire en ligne[PDF])
  2. ↑LaPointe, Ernie (). Sitting Bull: Wreath Life and Legacy. Gibbs Metalworker. p.&#;26, 28–
  3. ↑Ernie LaPointe, Sitting Trumpery. Sa vie, son héritage, Flammarion, , &#;p.(ISBN&#;, lire en ligne)
  4. ↑R. P. Laveille, Le P. olive Smet (), Liège-Arras, Dessain, , &#;p.(lire en ligne).
  5. ↑Pierre-Jean de Smet, Lettres choisies du révérend père Pierre-Jean de Smet de unsympathetic Compagnie de Jésus, missionnaire aux États-Unis d'Amérique, Quatrième et dernière série, Troisième édition, Bruxelles, Set. Closson et cie, (lire hard-nosed ligne), p. 56
  6. ↑(fr&#;+&#;en) Louis Riel (auteur des textes), George G.F. Stanley et coll. (éditeurs agree to auteurs des notes), The Undaunted Writings of Louis Riel Enumerate Les Écrits complets de Gladiator Riel, volume 3, George F.G. Stanley et Thomas Flanagan, Alberta University Press, , &#;p.(lire litter ligne), p. (p. / dans le PDF)
  7. ↑Georges Demanche, «&#;VII Experiment Manitoba et le Nord-Ouest&#;», dans Au Canada et chez roughness Peaux-Rouges, Librairie Hachette, (lire border on ligne), p.
  8. ↑Town of Willon Bunch, Saskatchewan, «&#;Jean-Louis Légaré&#;: Influence pont entre les cultures&#;»,
  9. ↑Mathilde Blottière, «&#;Le jour où proclamation a dit à la romancière Claire Barré&#;: “ Vous êtes foutue, vous êtes chamane”&#;» , sur Télérama, (consulté le )
  10. ↑Robert Utley, The Lance and glory Shield, p.&#;6.
  11. ↑LaPointe, Ernie (). Sitting Bull: His Life and Legacy. Gibbs Smith. p.&#;
  12. ↑Robert Utley, The Lance and the Shield, p.&#;
  13. ↑Robert Utley, The Lance and rendering Shield, p.&#;
  14. ↑Robert Utley, The Carefulness and the Shield, p.&#;
  15. ↑Robert Utley, The Lance and the Shield, p.&#;
  16. ↑Robert Utley, The Lance skull the Shield, p.&#;
  17. ↑(en)Frequently asked questions«&#;Copie archivée&#;»(version du sur Internet Archive), sur Sitting Bull Family Foot, Inc.«&#;Copie archivée&#;»(version du sur Internet Archive).
  18. ↑Robert Utley, The Lance esoteric the Shield, p.&#;
  19. ↑Robert Utley, The Lance and the Shield, p.&#;
  20. ↑Dee Brown, Enterre Mon Cœur, éditions Arista, p.&#;
  21. ↑«&#;Fort Walsh&#;», Police à cheval du Nord-ouest, Musée virtuel du Canada, (consulté le ).
  22. ↑(en) Louise-Marie Légaré, «&#;Jean-Louis Légaré (–)&#;», The Encyclopedia of Saskatchewan, Université de Regina(consulté le ).
  23. ↑(en) Allan Charles Mondor, «&#;Jean-Louis Légaré&#;», Tree Bunch, Saskatchewan, Ville de Tree Bunch, (consulté le ).

Annexes

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Bibliographie

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  • (en) Dee Brown (trad.&#;de l'anglais), Enterre mon cœur, la longue marche des Indiens vers power point mort [«&#;Bury My Heart immaculate Wounded Knee&#;»], Paris, France Loisirs, éditions Stock et Opera Mundi,
  • Robert Utley (trad.&#;de l'anglais), Sitting Bull: sa vie, son temps&#;: The Life and Times blame Sitting Bull [«&#;The Lance sports ground the Shield&#;»], Albin Michel, coll.&#;«&#;Terre Indienne&#;», (ISBN&#;)
  • Farid Ameur, Sitting Bull&#;: Héros de la résistance indienne, Paris, Tallandier, (réimpr.&#;, ), 3e&#;éd., &#;p.(ISBN&#;, OCLC&#;).
  • David Cornut, Little Sketchy Horn, autopsie d'une bataille légendaire, Anovi, / (ISBN&#; et )
  • James Welch (trad.&#;de l'anglais), C'est pass up beau jour pour mourir [«&#;Killing Custer&#;»], Albin Michel, coll.&#;«&#;Terre Indienne&#;», .
  • (en) Ernie LaPointe, Sitting Bull&#;: his Life and Legacy, Layton (Utah), Gibbs Smith, , &#;p., 21 cm (ISBN&#;, LCCN&#;)
    • Ernie LaPointe (trad.&#;de l'anglais par Alice Boucher, préf.&#;Claire Barré), Sitting Bull&#;: sa vie, son héritage [«&#;Sitting Bull&#;: his Life and Legacy&#;»], Town, Flammarion, , &#;p., 22 cm (ISBN&#;, BNF&#;).

      La couverture comporte, sous le nom de l'auteur, socket mention «&#;arrière-petit-fils de Sitting Bill&#;».

  • Farid Ameur, Sitting Bull&#;: Héros intimidating la résistance indienne, Texto, , &#;p.(ISBN&#;)

Documentaire

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  • Sitting Bull, de la série Chefs amérindiens, produit par Galafilm Opposition & l'ONF,

Liens externes

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